La nature en habits de printemps

Avec, toutefois, un parfum d’été tant l’eau se laisse désirer comme un vague écho au principe d’entropie…

Livrée à elle-même ou bien défrichée elle n’oublie jamais de nous proposer des couleurs qui louvoient au gré d’un ciel tantôt lumineux, tantôt nuageux. Dans des lumières dures ou ouatées, jamais décevantes tant il nous appartient de s’adapter à ce qu’elle nous propose ; juste prendre le temps de regarder et observer avec un œil candide quand bien même n’étaient-elles pas celles que nous attendions.

 1 – L’éclaireur

Lin et l’autre mais seul dans l’adversité, il en tire force et détermination.

2 – 3 – la peupleraie

En tout début de journée le soleil joue avec les lignes de la plus lumineuse des manières.

4 – En fond de décor, même l’écorce se transforme et fait le plein d’énergie.

5 – 6 – L’eau

Elle se fraie un passage au sein de la végétation, nous laissant miroiter une autre réalité riche en nuances.

7 – 8 Le tronc et le témoin

Entre le végétal et l’arbre noueux, les fiançailles fusionnelles deviennent spectacle au détour du chemin.

Vestige d’une vie passée, il demeure fier et s’enorgueillit de servir de point de repère que le regard perçoit comme une sculpture monumentale défiant le temps qui passe.

9 – 10 – Rouge

Le rouge est mis, la passion revient progressivement et s’éveille sur un lit aux draps de lin.

En 10 clichés des lieux communs devant lesquels je passe fréquemment bâtons en mains sans prendre le temps de lever le nez mais que j’aie eu envie de vous faire partager en ces temps de périmètre limité !

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