Le thème de septembre “minimaliste” ouvre un ensemble de choix que seul l’imaginaire de chacun a le pouvoir de limiter.
La sensibilité de chaque participant s’exprime, ici, en images sur les mers et dans les airs, où le lecteur se laisse entraîner dans les méandres de ses perceptions, pour se perdre le temps d’un instant, avant de s’échouer sur l’ultime oiseau au regard prometteur d’un ailleurs à découvrir, à espérer ou encore à s’interroger.
Après la mer, le lac et les airs pour s’étourdir un peu, revenons sur la terre ferme pour en contempler sa beauté. Regarder la nature si prodigue avec ses couleurs et ses folies !
Puis tout en se laissant porter, en douceur, affronter le regard du rapace….
Ainsi, se ferme ce mois de septembre entre couleur et fraîcheur de l’eau, entre l’envie de naviguer et de voler, sans oublier celui de la réflexion. quel que soi votre envie, laissez -vous porter.
Le fils d’Ariane que tu tisses progressivement au gré des images nous guide avec habileté et assurance en nous faisant toucher du doigt une cohérence pas nécessairement évidente à priori, merci Yvelise c’est réussi et subtil…
Pour le reste, ne nous y trompons pas en nous laissant influencer par les apparences, ici se sont bien nos amis photographes absents en images qui illustrent magistralement le thème du mois puisque en parfaite adéquation avec lui. Nous ne sommes que des artefacts, pâles copies s’ingéniant à définir ce qui ne peut l’être… ou ne pas l’être ; bravo à eux, osé mais tellement près de la vérité, oui mais laquelle me direz-vous ?!
Un cran au-delà de la simplicité, le minimalisme baigne souvent dans le silence, le calme. Je trouve une douceur à cette ballade de septembre.
Merci aux participants et à l’architecte de cette publication, Yvelise.
Le fils d’Ariane que tu tisses progressivement au gré des images nous guide avec habileté et assurance en nous faisant toucher du doigt une cohérence pas nécessairement évidente à priori, merci Yvelise c’est réussi et subtil…
Pour le reste, ne nous y trompons pas en nous laissant influencer par les apparences, ici se sont bien nos amis photographes absents en images qui illustrent magistralement le thème du mois puisque en parfaite adéquation avec lui. Nous ne sommes que des artefacts, pâles copies s’ingéniant à définir ce qui ne peut l’être… ou ne pas l’être ; bravo à eux, osé mais tellement près de la vérité, oui mais laquelle me direz-vous ?!
Un cran au-delà de la simplicité, le minimalisme baigne souvent dans le silence, le calme. Je trouve une douceur à cette ballade de septembre.
Merci aux participants et à l’architecte de cette publication, Yvelise.