Alors nous faut-il partager la vision pessimiste de Philippe L d’un ciel sans oiseaux tel qu’annoncé dans le cadavre exquis n° 3 ?
Non point car que serait un repas sans fromages, un ciel sans nuages, un monde sans abeilles ? Une réflexion qui me rappelle le film de Reiser « On vit une époque formidable » et la fameuse chanson :
« On vit une époque formidable, plus un seul endroit habitable, plus d’oiseaux, plus de poissons plus d’insectes, plus de saisons, et toujours et toujours des cons… »
Je vous propose donc les deux les nuages et l’oiseau, un jeune aigle royal récemment chassé lors de mon séjour nordique,
mais sans arc… en ciel !
Et j’invite Olivier à nous proposer une suite …