Chroniques terriennes Thème commun: illustrer un film ou une série

Pour la dernière publication des Chroniques terriennes en 2023, nous avons choisi l’évocation de films ou de séries. Les imaginaires de vos “chroniqueurs” vous présentent ici leurs fruits. Bonnes fêtes à toutes et tous !

Sorti en 1979, ce film se fait l’écho de la violence de la société déjà développé par Stanley Kubrick dans Orange mécanique. Le point de cristallisation de cette débauche de férocité s’avère être le pétrole. Lorsque l’énergie devient denrée rare, le vernis d’humanité se fissure, cela vous rappelle quelque chose ? Et pour la nana sur le montage, ne cherchez pas trop loin, c’est juste parce qu’elle à un très joli côté “pile”  

Qui ne se souvient pas de cette série américaine des années 60 ayant pour trame de fond l’éternelle crainte de l’humanité, tomber sur plus fort que soi dans la colonisation à outrance et l’asservissement. 

David Vincent alias Roy Thinnes les as vus ! Pour lui le cauchemar avait déjà commencé… Et il n’était pas bon à l’époque et dans le fond de la classe de lever le petit doigt. Depuis, et avec l’âge, les raideurs se déplacent non ?

On peut ne pas aimer le genre mais le film de Ridley Scott sorti en 1979  est pourtant devenu un film fiction culte. Le lieutenant Ellen Ripley sera la seule rescapée du cargo spatial Nostromo ayant chargé à son bord, sans le savoir, un parasite alien xénomorphe particulièrement vindicatif.

Cléopâtre, dernière reine d’Egypte, femme magnifique et élégante, intelligente et polyglotte, a marqué les esprits jusqu’à nos jours. Femme d’exception, elle a séduit les grands de ce monde, César et Marc Antoine entre autres. Elle symbolise la puissance. Dans un monde d’hommes, elle a favorisé l’expansion fulgurante du royaume d’Egypte et particulièrement de la ville d’Alexandrie. Visionnaire et stratège, elle incarne l’art de la négociation et de la guerre. 

Deux mille ans après son suicide à lâge de 39 ans, prononcer son nom et la magie opère. “Elle est le visage de la modernité ” indique Alberto Angela, l’auteur de l’ouvrage consacrée à Cléopâtre. 

Dans un monde, terreau des inégalités et des richesses détenues par une petite poignée d’individus, alors que la vie devient de plus en plus difficile pour les petites gens, relégués à satisfaire tant bien que mal leurs besoins primaires. Face à cette instabilité ancrée au fil du temps et croissante, la violence détrône petit à petit la bienveillance et le rapport à l’autre, introduisant la peur galopante et réductrice. Devant une telle situation creusée insidieusement qui sape tous les fondements du bien vivre ensemble, le naufrage guette les sociétés mondiales. Est-il permis d’espérer dans un tel contexte ?

Braveheart : C’est au 13^ème siècle que l’Ecosse souffre sous le joug anglais. William Wallace, futur Braveheart est atteint dans sa chair : père et mère sont victimes de l‘oppression d’Edouard 1^er d’Angleterre. William est plutôt pacifste et vit avec Murron MacClannough qu’il épousera. La brutalité d’un soldat anglais provoquera la mort de Murron. Fou de douleur, William Wallace ne vivra alors plus que pour exterminer l’envahisseur anglais.

La lutte contre l’esclavagisme, pour la conquête de la liberté est, hélas, une histoire ancienne. Dans les années 70 a.v. JC, Spartacus a laissé ses traces. Gladiateur acharné, Spartacus a combattu dans les cirques romains et levé une armée de guerriers pour lutter contre l’oppresseur romain.