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Ce mois ci dans nos chroniques terriennes une partition en 3 temps glissant progressivement de l’imaginaire débridée et de la magie de l’enfance à l’ivresse des profondeurs pour se terminer dans le cauchemar le plus absolue !

« La terre seule demeure l’immortelle, la mère, d’où nous sortons et où nous retournerons. » (Emile Zola)

Comment, dans une chronique ainsi intitulée, ne pas vouloir se glisser dans la peau d’un voyageur des étoiles spatio-temporel venu observer, l’espace d’un mince temps et quelques siècles avant notre ère, les fondements de notre civilisation actuelle ?

« Diego, libre dans sa tête derrière sa fenêtre s’endort peut-être »

Michel Berger